
Il a un CV de compétition.
Il parle trois langues, c’est faire du code.
Il a tout compris… sauf les gens.
Résultat ?
• L’équipe est en apnée.
• Les réunions ressemblent à des séances de thérapie collective.
• Et la courbe de productivité a pris la forme d’un toboggan.
Mais bon, il est brillant, hein.
🎩 Le mythe du “génie toxique”
On valorise les compétences dures : expertise, performance, résultats.
Mais quand il faut collaborer avec les autres, faire preuve d’empathie ou simplement… dire bonjour le matin sans provoquer de traumatisme :
🎬Plus personne.
Parce que voilĂ :
Les soft skills, c’est comme l’oxygène. On s’en fout… jusqu’à ce qu’il en manque.
🔥 Soft skills = ce qu’on ne voit pas… jusqu’à ce que ça brûle
Alors que c’est ça qui fait la différence entre une équipe qui avance et une équipe qui se supporte (à peine).
Et non, une formation “prise de parole” de 2h ne suffira pas à transformer « Génie » en collègue sympa.

💼 Formé pour performer, pas pour cohabiter
On forme à vendre, gérer, piloter, performer…
Mais pas Ă :
• gérer un conflit sans agressivité passive,
• écouter sans attendre son tour pour parler,
• faire un feed-back sans provoquer une guerre froide.
Et quand l’ambiance explose, on dit que « c’est la pression » ou « un problème de posture ».
(Traduction : on n’a pas su/pu/voulu bosser les compétences humaines.)

🎯 Conclusion
On veut des gens qui savent faire…
Mais surtout des gens qui savent ĂŞtre.
Parce qu’un génie qui ne sait pas travailler avec les autres, c’est un peu comme un chef qui cuisine très bien… mais uniquement pour lui.